Accueil Évangile du jour À cause des rumeurs du PCC, je subis une guerre spirituelle au sein de ma famille

À cause des rumeurs du PCC, je subis une guerre spirituelle au sein de ma famille

0
142

Ma famille m’assigne à résidence et Dieu m’ouvre une porte de sortie

Songeant à tous ces gens qui vivaient encore dans les ténèbres et qui n’avaient pas accepté le salut de Dieu, j’ai consacré mon temps libre à prêcher activement l’Évangile. Un jour, étant revenu dans ma ville natale, j’ai prêché l’Évangile à mon oncle. Non seulement il n’y a pas cru, mais il a parlé à mes parents de ma croyance. Mon père m’a réprimandé au téléphone : « Ton oncle dit que tu crois encore en Dieu Tout-Puissant. Travaille dur et ne vas pas courir partout prêcher l’Évangile à tous les gens que tu rencontres. On sera de retour dans quelques jours. » Me retrouvant soudainement dans cette situation, je me suis senti un peu perdu. Après avoir raccroché, j’ai adressé à Dieu une prière urgente : « Ô Dieu ! Que mes parents reviennent ou non à la maison et qu’ils essayent ou non de m’empêcher de croire en Toi, tout cela est entre Tes mains. S’ils reviennent vraiment, je leur ferai face, et je Te demande de me donner l’intelligence et la sagesse, et de m’inspirer les mots justes. » Après avoir prié, je me suis senti un peu plus assuré. Quelle qu’allait être la situation dans laquelle j’étais sur le point de me retrouver, j’allais obéir à Dieu et me fier à Lui pour l’affronter.

Une semaine plus tard, mes parents étaient effectivement de retour dans notre ville. Ils sont venus me chercher au restaurant, et sans rien mentionner d’autre, ils m’ont tout de suite annoncé que j’allais les accompagner à la maison et qu’ils n’allaient pas me laisser travailler ici plus longtemps. N’ayant pas le choix, j’ai demandé au patron du restaurant un congé de quelques jours, j’ai pris mes affaires et je suis rentré à la maison avec mes parents. À notre arrivée, mes parents m’ont surveillé à tour de rôle et ne m’ont pas laissé sortir ni contacter mes frères et mes sœurs, sans parler d’aller prêcher l’Évangile. Je me suis retrouvé dans l’impossibilité de contacter mes frères et mes sœurs et je n’avais pas mon livre de paroles de Dieu : que devais-je faire ? Soudain, je me suis souvenu qu’il y avait une carte à mémoire dans l’ordinateur qui avait été ramené de la chambre que j’avais louée, et qu’elle contenait une copie du livre de paroles de Dieu et quelques hymnes. Je me suis donc servi de l’ordinateur pour écouter les hymnes. Un matin, alors que j’étais en train d’écouter des hymnes, ma mère a surgi dans la pièce. Avant que j’aie eu le temps de les cacher, elle a vu les fichiers sur mon ordinateur et m’a dit, choquée : « Oh, pourquoi veux-tu encore ces trucs sur la croyance en Dieu ? » Je lui ai répondu : « Maman, il ne faut pas que tu croies aussi facilement ce qu’ils disent sur Internet ! J’ai eu moi-même des contacts avec les frères et les sœurs, et ce sont des gens formidables. Ils ne sont pas comme on les montre sur Internet, ces choses qui y sont écrites, il ne faut pas s’y fier. Ce ne sont que des rumeurs inventées par le PCC, et tu ne dois pas essayer de m’empêcher de croire en Dieu. » Quelque peu contrariée, ma mère m’a fait : « Il ne faut peut-être pas se fier à ces trucs sur Internet, mais avec ta croyance en Dieu, tu risques de te faire arrêter ! Qu’est-ce que nous ferons, si un jour tu es arrêté à cause de ta croyance en Dieu ? Si on t’empêche de croire en Dieu, c’est pour ton bien ! Tu vas rester ici, à la maison. » Inébranlable, je lui ai répondu : « Maman, tu n’as pas besoin de te faire du souci pour moi. Que je sois arrêté ou non, c’est entre les mains de Dieu, et le gouvernement chinois est aussi soumis à la loi de Dieu. C’est toujours Dieu qui a le dernier mot. » Cependant, quoi que je lui dise, ma mère n’avait nullement l’intention de me laisser faire. J’ai commencé à désespérer, ne sachant pas pendant combien de temps je serais obligé de rester à la maison. Je revivais mentalement des scènes des réunions que j’avais eues avec les frères et les sœurs. Au cours d’une réunion, chaque fois que je soulevais un problème, les frères et les sœurs échangeaient toujours patiemment avec moi. Chaque fois que je rencontrais une difficulté dans ma vie, ils se préoccupaient beaucoup de ma situation et prenaient soin de moi, et cela me faisait chaud au cœur. Je regrettais vraiment ces moments passés avec mes frères et mes sœurs. Maintenant que j’étais enfermé à la maison, dans l’impossibilité d’échanger avec mes frères et mes sœurs à propos des paroles de Dieu, je me sentais vraiment vide, je n’avais personne à qui faire part du sentiment de contrainte que j’éprouvais, et j’étais pris d’un sentiment inexplicable de solitude et de désespoir : ma vie allait-elle ressembler à ça, désormais ? Quand allaient-ils me laisser sortir ? Je me suis vite présenté devant Dieu pour dire une prière : « Ô Dieu ! Mes parents n’ont toujours pas l’intention de me laisser, et j’ignore pendant combien de temps ils comptent me garder enfermé. Mon cœur commence à faiblir, et je trouve que croire en Dieu dans ce genre de situation est trop difficile. Comment dois-je surmonter ça ? Je Te demande conseil. » À l’issue de ma prière, j’ai pensé à ces paroles de Dieu : « Dans chaque étape du travail que Dieu fait à l’intérieur des gens, à l’extérieur, tout apparaît comme des interactions entre les personnes, comme s’il était né des arrangements humains ou d’une interférence humaine. Mais, dans les coulisses, chaque étape de travail, tout ce qui arrive, est un pari que Satan a fait avec Dieu et requiert que les gens restent fermes dans leur témoignage en faveur de Dieu. Considérez quand Job a été éprouvé, par exemple : dans les coulisses, Satan faisait un pari avec Dieu, et ce qui est arrivé à Job vint des actions des hommes et de l’ingérence des hommes. Derrière chaque étape que Dieu fait en vous, il y a le pari de Satan avec Dieu. Derrière tout cela, il y a une bataille. » Ces paroles de Dieu m’ont permis de comprendre que les tentatives de ma famille de me faire obstacle et de me contraindre n’étaient pas leurs propres actes, c’était plutôt une guerre en cours dans le monde spirituel. Satan savait que je venais seulement de commencer à croire en Dieu, et donc, afin de m’empêcher de me présenter devant Dieu, il utilisait ma famille pour me cerner et m’assigner à résidence, avec pour objectif de me forcer à renoncer à ma croyance en Dieu. Cependant, le dessein de Dieu était que je perce à jour les plans rusés de Satan et que je reste inébranlable dans mon témoignage. Tout se passait comme lorsque Satan avait essayé d’anéantir la foi que Job avait en Dieu, en le privant de ses biens et de ses enfants et en lui infligeant de douloureux furoncles, et Satan avait aussi utilisé les amis de Job et sa femme pour le tenter, afin qu’il abandonne sa foi en Dieu. Si toutes ces choses que Job subissait étaient en réalité les tentations de Satan, il s’agissait aussi d’une épreuve de la part de Dieu. Or, Job n’avait pas reproché à Dieu la perte de sa richesse et de ses biens, et au lieu de renoncer à Dieu sous la pression de ses amis et de ses proches, il avait gardé la foi en Dieu, il était resté inébranlable dans son témoignage et finalement, il avait reçu la louange de Dieu. Il fallait que je suive l’exemple de Job et que je ne me laisse pas prendre aux complots trompeurs de Satan. Peu importait la manière dont mes parents essaieraient de m’arrêter, il fallait que je renforce ma foi et que je suive Dieu. J’ai donc adressé à Dieu une prière silencieuse, dans laquelle je Lui ai demandé de me laisser une ouverture, afin que je puisse sortir et me réunir avec mes frères et mes sœurs.

Après cela, j’ai dit à ma mère : « Ça fait maintenant une semaine que je suis coincé dans cette maison. Laisse-moi sortir. Je vais simplement retourner travailler. » Elle ne m’a pas cru, mais j’ai soudain eu une idée : et je lui ai dit que j’avais une petite amie, et que si je ne pouvais pas aller la voir, il y aurait peu de chances que nous puissions un jour nous marier. Ma mère a commencé à craindre qu’en me gardant à la maison, elle ruine cette chance de me voir marié, et elle m’a laissé sortir. Cela m’a permis de comprendre que Dieu était de mon côté et que, quelles que soient les difficultés que je pouvais rencontrer, si je priais Dieu et Lui faisais confiance, n’importe quelle difficulté pourrait être facilement résolue. Ma foi en Dieu s’en est trouvée quelque peu renforcée. Une fois sorti de la maison, je suis retourné dans la chambre que j’avais louée et j’ai constaté que mes parents en avaient déjà retiré toutes mes affaires : où allais-je habiter ? J’ai alors téléphoné à un de mes frères dans l’Église pour lui annoncer qu’on m’avait libéré. À ma grande surprise, ce frère m’a aidé à trouver un bon endroit pour loger, et il a fait en sorte que je puisse assister à des réunions.

Cependant, les tentatives de ma famille pour m’arrêter n’avaient pas cessé…

Mon père menace de rompre tout lien avec moi pour me faire renoncera ma foi en Dieu


À cause des rumeurs du PCC, je subis une guerre spirituelle au sein de ma familleL’ image ne correspond pas au texte

Comme le Nouvel An chinois approchait, je suis retourné à la maison. Il s’est trouvé que mes parents y étaient aussi, et mon père m’a dit tout net : « Tu ne dois plus croire à ça. Si tu continues à y croire, alors je n’aurai plus rien à voir avec toi. Cette fois, tu vas venir avec moi, tu vas venir à mon travail ! » Je me suis dit : « Si je vais avec mon père, il va me surveiller tout le temps, alors comment vais-je pouvoir sortir et aller assister à des réunions ? » Sur le moment, je ne savais pas quel était le mieux à faire, alors j’ai simplement continué à prier Dieu intérieurement : « Ô Dieu, mon père exige que j’aille avec lui à son travail, et je ne veux pas y aller. Mais je ne sais pas comment faire avec lui. Donne-moi la foi. » Après avoir prié, j’ai dit à mon père que je n’avais pas envie d’aller avec lui. De façon inattendue, ça l’a mis en colère et il m’a passé un bon savon. Voyant que je ne cédais toujours pas, il a commencé à me rouer de coups, tout en me demandant si j’allais venir avec lui, oui ou non. Ensuite, ce sont ma mère et mes grands-parents qui ont essayé de m’influencer. Ma mère m’a dit en gémissant : « Pourquoi es-tu devenu si revêche ? Qu’est-ce qu’on va faire si on t’arrête un jour à cause de ta croyance en Dieu ? » Voyant que je n’allais pas céder, mon père est entré dans une telle colère qu’il s’est rué dans la cuisine et en est revenu avec un couteau, qu’il m’a mis sous la gorge en me demandant : « Et maintenant, tu crois en Dieu Tout-Puissant ? Si tu dis oui, alors je n’ai plus de fils. » Voyant ma famille réunie autour de moi et confronté à leur ligueur, j’ai été affreusement bouleversé et de façon irrépressible, mes larmes se sont mises à couler. J’ai pensé : « Comment se fait-il que dans ma famille, personne ne me comprenne ? Rien que parce que je crois en Dieu, mon père déclare qu’il va rompre tous ses liens avec moi ! Ces gens-là sont-ils encore ma famille ? »

Dans la douleur et l’impuissance, j’ai invoqué Dieu intérieurement : « Ô Dieu ! Je suis si angoissé maintenant, et je ne sais pas quoi faire pour me sortir de cette situation. Protège-moi. » Dieu m’a alors éclairé, et l’hymne de ces paroles de Dieu :“Aussi grande que soit ta souffrance cherche à aimer Dieu”, m’est venu à l’esprit : “Vous devez ainsi toujours rendre témoignage durant les derniers jours. Peu importe votre souffrance, aussi longtemps que vous respirez, restez fidèles à Dieu, soumis à Sa main. C’est aimer vraiment Dieu, un fort témoignage.” Il m’est venu aussi ces paroles de Dieu : “Peu importe qui fuit, tu ne le peux pas. D’autres gens ne croient pas, mais tu te sens obligé. D’autres gens abandonnent Dieu, mais tu te sens obligé de rester avec Dieu et témoigner de Lui. D’autres calomnient Dieu, mais tu ne te sens pas obligé.” Ces paroles de Dieu m’ont donné la foi et la force, et j’ai compris que si je me retrouvais aujourd’hui dans cette situation, c’était parce que Dieu voulait que je porte témoignage. Les autres membres de ma famille n’étaient pas croyants, ils avaient été ensorcelés par les rumeurs du PCC et comme ils ne comprenaient pas le dessein de Dieu de sauver l’homme, ils essayaient de m’empêcher de croire en Lui. Or, ayant lu les paroles de Dieu, je savais que c’était le vrai chemin, et ils auraient beau dire, je n’allais pas les écouter ni trahir Dieu de quelque manière que ce soit. J’ai donc dit résolument à mon père, qui tenait toujours le couteau contre mon cou, « Vas-y ! Vivant ou mort, je n’irai pas avec toi. » En entendant cela, mon père a littéralement explosé de rage, mais il s’est rendu compte à quel point j’étais inflexible, et finalement, il n’a rien pu faire d’autre que relâcher le couteau. Juste avant de partir, il m’a demandé encore une fois si j’allais venir avec lui, et j’ai répondu non avec fermeté. Il m’a alors frappé avec colère, et j’ai été obligé d’encaisser les coups. Intérieurement, j’ai prié Dieu en silence en Lui demandant de me protéger. À la fin, mon père, impuissant, m’a dit : « Fais ce que tu veux. Je ne peux plus supporter ça. » J’ai vivement remercié Dieu, car je savais que c’était Lui qui me présentait une porte de sortie. Après cela, j’ai pu à nouveau assister à des réunions avec mes frères et mes sœurs, et en voyant que j’étais si résolument décidé à croire en Dieu, mes parents n’ont plus essayé de m’en empêcher comme ils l’avaient fait auparavant.

En repensant à ces événements, j’ai pu faire l’expérience du profond amour de Dieu

En repensant à ce que j’avais vécu à l’époque où famille essayait de m’empêcher de croire en Dieu, je me suis rendu compte à quel point les rumeurs inventées par le PCC pour attaquer et discréditer l’Église de Dieu Tout-Puissant étaient odieuses. Au début, mes parents reconnaissaient que la foi en Dieu était une bonne chose, et ils ne s’opposaient pas à ma croyance. Mais comme ils ont été trompés par les rumeurs répandues par le PCC, ils se sont fait des idées fausses concernant l’Église de Dieu Tout-Puissant, ils se sont mis à avoir peur des forces maléfiques du PCC et ils ont craint que je sois arrêté, si bien qu’ils ont tenté de m’empêcher de croire en Dieu et de me forcer à y renoncer. Moi-même, j’ai aussi été trompé par les rumeurs du PCC, j’ai voulu revenir sur ma parole et ne plus croire en Dieu, et je me suis morfondu à cause des tentatives de ma famille de me contraindre : c’est le Parti communiste chinois qui a été la source de tout ce mal. Mais pendant tout ce temps, Dieu m’a toujours guidé et aidé en silence. Quand j’étais trompé par les rumeurs du PCC, c’est Dieu qui a utilisé les explications de mes frères et de mes sœurs pour me permettre de faire la distinction entre le bien et le mal et de continuer à Le suivre. Quand ma famille m’a assigné à résidence, m’a réprimandé et m’a menacé, ce sont les paroles de Dieu qui m’ont donné la foi et qui m’ont sorti de mon état de faiblesse et de négativité. Quand j’ai tout lâché pour suivre Dieu, Dieu m’a ouvert une porte et ma famille a cessé d’essayer de m’empêcher de croire en Lui. C’est Dieu qui m’a guidé face à chacune des tentatives répétées de ma famille de m’empêcher de croire en Lui, et j’exprime ma reconnaissance à l’amour de Dieu qui ne m’a jamais abandonné une seule fois ! Que toute la gloire revienne à Dieu Tout-Puissant !

Tanran, Canada

 Source : Bible en ligne

Charger d'autres articles liés
Charger d'autres écrits par labiblelecturedujour
Charger d'autres écrits dans Évangile du jour

Laisser un commentaire

Consulter aussi

Musique chrétienne 2020 « Le temps perdu ne reviendra jamais »

Musique chrétienne 2020 « Le temps perdu ne reviendra jamais »   Réveillez-vous, frèr…